lundi 26 septembre 2016

Vos témoignages sur notre cours de Yoga


J'ai rencontré le yoga à un moment difficile de ma vie (rupture à forte résonance, burn out, travail sans perspective d'avancement, le décès d'un proche..). Je me sentais au bout de moi même, au bout des possibles, comme emprisonnée dans les problématiques, sans les ressources ni les compétences pour en sortir. Migraineuse depuis l'âge de 12 ans et peu sportive, je ne tenais pas compte de mon corps, il était pour moi tout simplement un objet externe à moi même.


-Un ami m'a alors parlé du yoga et j'ai voulu testé. 

Le premier cours a été pour moi mémorable. Dans la pénombre, après des salutations au soleil, et des exercices très doux de respiration et d'étirement, j'ai beaucoup pleuré. Larmes salvatrices qui m'ont fait comprendre à quel point j'avais oublié ce corps depuis tant d'années, à quel point les épreuves l'avaient blessé à quel point je l'avais abandonné. Se retrouver avec soi même, avec son corps, y faire face a été une prise de conscience nécessaire. 


- Dès les premiers temps, en sortant des cours :  des sensations évidentes

Le corps lourd -sensation de "bonne fatigue"-, l'esprit allégé, détendue, j'étais comme coupée de ma journée, à nouveau disponible. Puis les jours suivants, pleine de dynamisme.  Au fur et à mesure j'ai pu constater que la fréquence de mes migraines avait nettement baissé, voir que celles-ci avaient quasi disparu !!


-Après quelques mois d'autres bienfaits que je n'avais pas soupçonnés, d'ordre spirituel

 Le yoga est le fruit d'une spiritualité plaçant l'homme, son bien-être, son rapport aux autres, la sagesse, au coeur de celle-ci. Il ne s'agit donc pas de développer un rapport à soi égoiste, mais plus de porter un regard sur soi, sur sa place dans le monde, de façon bienveillante. En ce sens, le yoga permet de re/définir ses propres contours et par conséquent ce que l'on peut donner aux autres, désormais porté par cette bienveillance. Au-delà des bienfaits physiques donc, plus de tolérance envers soi même, plus de justesse envers les autres.  


Au démarrage de ma deuxième année de yoga

 Je me sens désormais former un tout, profondément enracinée en moi même, dans lequel mon corps et mon esprit se sont retrouvés et font l'expérience d'exister en cohérence,  pour enfin savourer les délices de cette plénitude. Une plénitude qui apporte une grande force, une grande joie, beaucoup de générosité et une sensation très agréable de maîtrise de soi.

Caroline (36 ans)

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" je suis venu au yoga il y a sept ans en situation qualifiée de "burn out", cet état ou l'individu ne sait plus puiser en lui les forces pour traiter tout ce qui l'assaille dans certaines étapes de son existence.

Peu instruit, j'imaginais le yoga comme une gymnastique douce et relaxante au même titre que d'autres pratiques.

Les débuts ont été, je dois le dire, un peu rebutants car faits d'exercices et de postures qui paraissent répétitifs et dont la finalité et les bienfaits n'apparaissent pas  en première expérience.

Certaines postures apparaissent même impossibles, faute de calme, de méthode et de simple connaissance de ses propres possibilités ou limites.

j'ai eu la chance de rencontrer un professeur qui met en  confiance et a la sagesse de s'en tenir au Hatha Yoga millénaire qui a fait ses preuves. Il expose simplement qu'il ne s'agit pas de recherche de performance mais de conscience de son propre corps, de ses particularités morphologiques et du plaisir qu'il prend a certaines postures tandis que d'autres méritent une véritable approche.

Ce  qui m’avait échappé auparavant se retrouve dans le socratique "connais toi toi même" dont le yoga est une magnifique expérience des effets miroir entre le corps et l'esprit.

De là ,j'ai appris à pratiquer sans peine des postures (l'arbre, sarvangasana...) que je ne parvenais pas à prendre par blocage mental et non physique(je ne suis pas devenu plus athlétique ..au contraire).

Une faculté née du yoga, et surtout de la méditation est l'abstraction : cette possibilité (même si elle reste  embryonnaire..) de faire le vide quelques instants pour chasser les affects  et émotions énervements avec succès

Dans des situations très confuses j'ai pu la mettre en œuvre, interrompre le maelström des idées et des réactions  et  retrouver une sérénité et une clarté nouvelle d'analyse et de vue des situations

Christian laboure profond par ses articles et, outre les postures qu'il analyse et décrit si méthodiquement, ouvre des voies nouvelles : comment une discipline qui parait introvertie peut mener à l'altruisme, le karma...

Merci au Yoga et son professeur.

Je regrette pour le rayonnement du Yoga, qu’il soit souvent associé à d'autres pratiques plus floues.."

Olivier

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"La pratique du yoga m'accompagne au quotidien. Je me rends compte qu'il est plus bénéfique pour moi de pratiquer ne serait-ce qu'une dizaine de minutes par jour ou tous les 2 jours plutôt que 2h toutes les 2 semaines par exemple.

Je pratique les positions dont je ressens avoir le plus besoin en fonction de mon état physique et émotionnel du moment.

Si je suis particulièrement stressée, je favorise les positions qui travaillent particulièrement la respiration et la relaxation. Si je sens que je manque d'exercice physique, je favorise les positions qui sollicitent davantage la musculature. L'effet est immédiat et ce sont des jours où la qualité de sommeil est meilleure."

 

"J'utilise le Reiki pour un seul usage mais qui fonctionne à tous les coups: lorsque je n'arrive pas à trouver le sommeil, je pose mes main à plat sur mon corps, une sur le ventre et une sur la poitrine. Je me concentre ainsi sur la chaleur née du contact avec mes mains et mon corps et en général je n'ai pas le temps de penser à autre chose car le sommeil est trouvé!"

Anna

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D'un point de vue mental et psychologique, j'ai constaté davantage d'apaisement. Je peux arriver au cours avec l'esprit très agité, par des tracas professionnels ou personnels (cela peut aller d'un échec commercial à ma liste de courses pour un dîner à organiser) ou par l'attitude des autres qui m'agace (famille, collègues). Dans tous les cas, mon état d'esprit est complètement différent après le cours ou, quand je pratique en dehors des cours, après une courte méditation. Je me sens plus disposée à écouter, à discuter et à accepter les choses telles qu'elles sont.

Au niveau physique, je ressens surtout des bienfaits sur ma posture au quotidien : je me tiens plus droite, plus ferme et je pense davantage à rejeter mes épaules en arrière (c'est une de mes faiblesses et cela me provoque des douleurs au bras, aux cervicales et au poignet).

Marylène

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Lorsque je suis venu à la pratique du Yoga, j’étais encore plein d’à priori sur le réel bénéfice d’une telle pratique. Autant dire que c’est avant tout la curiosité qui m’a poussé à débuter. J’avais bien entendu ça et là que le Yoga était une pratique excellente pour se déstresser, retrouver le calme. Rien qui de mon point de vue ne pouvait garantir une réelle rémission des maux physiques et psychiques dont je souffrais à l’époque. Car si le résultat d’un principe actif médicamenteux ou de soins tel que la kinésithérapie me paraissait bien tangibles, j’ai eu du mal à imaginer comment le simple fait de contrôler sa respiration en enchainant diverses postures tout en maintenant un esprit calme pouvait avoir de réels effets positifs sur la santé. Au pire cela ne m’apparaissait que comme une médecine douce qui ne pouvait pas faire de mal, et au mieux un peu de bien, sans pour autant être réellement efficace.

 

Quel ne fut pas ma surprise dès la première séance, de découvrir à quel point cette pratique était puissante. C’est avec beaucoup d’humilité mais aussi de joie, que je poursuis cette pratique depuis 5 ans maintenant. D’un esprit plutôt cartésien, il m’a fallut quelques lectures pour comprendre que le Yoga n’avait rien de magique, et que les bénéfices de la pratique s’expliquaient tout à fait d’un point de vue médical et scientifique. Cela m’a définitivement convaincu, s’il en était encore besoin, du bienfondé d’une pratique régulière. Le yoga fait partie de mon existence désormais et je l’adapte autant que possible dans mon quotidien.

 

Toujours avec humilité et loin d’avoir acquis encore un degré élevé de maîtrise, j’éprouve un immense plaisir semaine après semaine, à approfondir ma pratique, y puiser toujours de nouveaux enseignements. Ayant réussi à prendre soin de ma santé grâce au Yoga, je m’aperçois qu’il est possible même par des actions simples dans la vie de tout les jours, de transmettre autour de soi les bienfaits tirés du Yoga. C’est une manière de se rendre meilleur soi-même tout en contribuant même très modestement à rendre le monde meilleur.

 

Pour résumer, je dirais que le Yoga est une expérience très riche et positive, qui peut apporter beaucoup de bienfaits, à condition d’être patient, motivé et toujours très humble. Une expérience en tout cas que tout être vivant mériterait de connaître.

 

B-F Marle-Ouvrard

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Je voulais vous adresser mon témoignage sur les bienfaits du yoga depuis que je me suis inscrite la première fois il y a deux ans.

J’avais depuis longtemps entendu parler de la part de mon entourage des bienfaits du yoga même si la pratique du yoga peut-être perçue différemment en fonction des personnes et du type de yoga.

J’ai bien compris que ce n’était pas de l’exercice physique et je ne cherchais pas cela bien au contraire.

Pour ma part j’avais besoin d’une reconnexion avec mon corps et surtout mon esprit, un besoin de pause et de lâcher prise pour mieux appréhender une vie souvent source d’angoisse et de stress …

La première année je suis allée à vos cours et j’ai laissé faire sans vraiment chercher a analyser ce qu’il pouvait se passer … Je dois dire que l’approche n’a pas toujours été simple et que je ne pratiquais pas en dehors de vos cours , je ne faisais que visualiser de temps en temps en pensant au cours pour une pause de respiration au cours de mes journées … Je ne prenais pas le temps de me poser et d’essayer de méditer … D’ailleurs méditer et laisser passer les pensées , ne pas sans cesse mouliner était pour moi assez difficile !!

Et puis il me semble qu’il y a eu au cours de cette deuxième année une évolution ! tout d’abord avec mon corps, la position en tailleur me semble plus naturelle , la respiration et l’esprit qui apprends a se poser … Je fais tous les matins mes salutations au soleil , ce moment de la journée ou l’on dit bonjour à soi , à la vie , au moment présent .. et durant ces vacances le besoin de tous les jours méditer quelques instants …

C’est une approche lente et concrète qui me permets d’être mieux avec moi-même , une pratique qui m’aide a mieux appréhender mon stress et mes angoisses ou des situations difficiles , je suis beaucoup plus calme , posée , et je prends du recul sur les choses , j’apprécie les petites choses de la vie , la nature qui me parle , l’air ( mon prana source de vie ) et ma spiritualité qui grandit ..

Je recommande à beaucoup de personnes cette pratique qui amène à une autre dimension extrêmement enrichissante pour apprendre sur soi et les autres , pour s’éloigner des pensées qui nous entravent …

Une pratique qui en fait me rend plus libre et confiante aussi..

Mettre en mots les ressentis n’est pas une chose facile mais j’aurais essayé !!

Ghislaine

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MAL DE DOS


Depuis plusieurs années je ressentais des douleurs dorsales qui me gênaient durant la journée mais surtout m'empêchaient de faire le moindre mouvement en position allongée, voire de dormir. La situation ne s'améliorant pas, j'ai débuté des séances de musculation, de pilates, de gymnastique, de massages. Aucun résultat.
L'idée de la pratique du Yoga, qui m'a été soufflée par mon épouse, m'a permis de rencontrer Christian. J'ai immédiatement apprécié sa zénitude permanente et son sens de la convivialité.
Très rapidement il m'a initié à l'écoute de mon corps, à la perception de chaque mouvement, à l'adaptation de l'amplitude de chacun de mes gestes mais surtout il m'a fait découvrir que la musculation du dos était l'un des premiers bienfaits du yoga. Personne auparavant ne m'avait appris à muscler mon dos. Le résultat fut immédiat, les douleurs dorsales ont disparu même si elles réapparaissent dés que j'oublie quelque temps les bons conseils de Christian.
Philippe

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Il y a plusieurs années que je pratique le Yoga et je lui suis infiniment reconnaissante des bienfaits que cette pratique m’a apportée .

J’ai commencé le yoga appréciant son pouvoir «  relaxant »,en  prenant conscience de la  régulation du souffle et de  l’importance de la respiration . Parallèlement  la  constatation d’  une souplesse corporelle est appréciable même en étant une très modeste pratiquante . Je me suis aperçue que la concentration est indispensable pour progresser, cette concentration qui devient  découverte non pas d’une accumulation d’informations mais le silence de l’écoute et la possibilité d’une vacuité de ces pensées galopantes et encombrantes.La conscience du Yoga  implique un travail conjointement physique et mental   .C’est un parcours de lentes progressions ou le temps fait son œuvre dans des acquis d’abord inconscients de patience  ,de discernement personnels que la méditation va consolider.C’est un nouvel espace temps qui s’installe en un mode de vie plus serein voir plus stable .Pour ma part  dans ce parcours, le yoga m’a permis une certaine force d’analyse de décisions , ou d’adaptation quand à l’inéluctable d’évènements ou de situations  qui bien qu’étant « les choses de la vie « sont les carrefours sombres du mystère de notre vie ; mais aussi et surtout une qualité de relationnel familial et professionnel d’une richesse qui me surprend  car il parait que je suis « zen « 

Françoise

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J’ai constaté que les pratiquants du yoga se représentaient la vie comme je voulais la vivre…. Dans le calme, la sérénité, l’écoute , la tolérance …..

J’ai donc décidé il y a 2 ans d’approcher cette discipline.

J’ai aujourd’hui  adopté une nouvelle facon de vivre, je suis devenue plus détendue, à l’écoute de mes proches mais aussi de moi meme. J’ai acquis de la souplesse avec mon corps mais aussi dans ma facon de penser.

Au décès de mon papa, la pratique du yoga m’a beaucoup aidé, j’ai  ainsi mieux abordé le deuil  et  le moment  difficile “partage des biens” avec ma famille ou  chacun se déchire, c’est d’ailleurs à cette période que j’ai constaté combien j’avais évolué mentalement vivre avec ce que la vie nous apporte de joies, de bonheur et  d’amour  est suffisant et le plus important dans la vie.

J’ai toujours pratiqué une petite activité sportive, et à ce niveau la aussi, j’ai appris à ne pas être agressive avec moi meme, le yoga c’est savoir aussi écouter  son corps.

Il y a quelques années ou très stressée j’avais testé un cours de yoga …. Celui ci  m’avait eté proposé comme une discipline sportive aussi je n’avais pas accroché du tout; normal  la pratique du yoga c’est d’abord  un choix mental et  NON UN SPORT.

Pour info : D’ ordinaire le plus petit animal m’effraie et hier je me suis surprise à récupérer une araignée qui était dans la maison pour la poser à l’extérieur...

Cordialement 

DOMINO

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VRIKSHASANA

Merci pour cet article. 

Comme chaque article rédigé par vos soins, le descriptif est concis, clair et simple à exécuter.
On a tout de suite envie de pratiquer pour en retirer les bienfaits. 

Pour ma part j'ai besoin de " joie de vivre" essayant d'arrêter les atdp (antidépresseurs) et de stabilité : vous ne pouviez pas mieux tomber !

Et la concentration, on le ressent pendant plusieurs jours après la pratique. Et ça aide bien la méditation.

Je vous remercie

Martine 😘

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MEDITATION

Ces dernières semaines j'ai dû faire face à quelques soucis pas très graves mais qui m'ont perturbée et j'avoue qu'une pratique rituelle et journalière de la méditation m'a beaucoup aidée. Fin juin j'ai eu un accident de voiture pour la 1ère fois de ma vie mais pas banal puisque je suis rentrée dans un mur avec juste de gros dégâts de carrosserie et 3 semaines de réparation mais je ne me souviens de rien, juste le souvenir d'avant et après : la voiture encastrée contre le mur !

Je suis consciente malgré tout qu'aujourd'hui j'arrive à gérer  ces contrariétés avec beaucoup plus de calme et de sérénité, que ce soit des problèmes au sein de ma famille ou autres et je regrette juste de n'avoir pas eu connaissance de cette pratique plus jeune, mais sans doute que les choses arrivent quand elles doivent arriver.

Annick

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J'aime pratiquer le yoga, que je trouve très exigeant comme pratique à la fois physique et cérébrale, car il me permet de  me retrouver "a l'intérieur" de moi-même, tout en accomplissant des postures qui me font le plus grand bien physiquement.
La méditation, bien que difficile au niveau de la concentration, m'apporte un bien-être particulièrement profond, qui me calme et me régénère.

Dans cette pratique, j'apprécie avant tout les exercices respiratoires et la relaxation finale.

Le yoga me détend durablement et m'apporte aussi de nouvelles énergies.

Véronique

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Je tenais à partager mon témoignage sur la pratique du yoga, pratique Qui a commencé voici maintenant 8 ans et que je ne compte plus lâcher! Je vous avais dit un jour, et celà vous avait fait rire que le yoga devait être remboursé par la sécurité sociale tant il fait du bien à notre santé mentale et physique.

Au départ, ma démarche d'aller vers le yoga était motivée par ma volonté de "maîtriser", voire de me débarrasser de mes crises de colères devenues de plus en plus fréquentes face au caractère bien trempé de ma deuxième fille. Aujourd'hui, il m'arrive de la remercier en lui disant que c'est "grâce à cause d'elle" que j'ai découvert le yoga.

En effet, la pratique du yoga m'a, au fil du temps, appris à reconnaître les prémices de ce sentiment et de le maîtriser avant qu'il n'explose, et qu'il ne m'épuise. Et surtout, éviter à mon entourage les effets de ce poison qui ne m'aidait pas à me rapprocher de ma fille.

Je peux dire qu'aujourd'hui je me suis complètement débarrassée de ce poison grâce au yoga, mais pas seulement le yoga des postures...

 

Mais la première chose que le yoga m'a apportée, bien avant la maîtrise de la colère, c'était tout simplement une belle respiration, je ne savais plus respirer depuis un bon moment et je ne le savais pas! Respirer amplement et en pleine conscience, voilà ce que le yoga m'a très vite appris. Cela parait évident mais le pratiquer réellement procure un bien immense.

 

Après quelques années de pratique, j'ai découvert une autre dimension du yoga...l'esprit yoga! Qui ne se limite pas aux postures. C'est aujourd'hui une discipline que je vis, à travers mon attitude avec les autres et avec moi-même, mon alimentation, ma façon de penser, et aussi l'envie de toujours progresser.

Et cela grâce à notre excellent professeur de yoga qui nous guide sur la voie d'un yoga authentique et qui le transmet avec beaucoup de persévérance et d'attention vis à vis de chacun d'entre nous.

MERCI Christian!!

Sonia

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" Je pratique le yoga depuis plusieurs années et cela m'a beaucoup aidé à surmonter les différentes épreuves de la vie. Dans la vie quotidienne, j'arrive mieux à lâcher prise face à certaines situations et j'aborde  la vie avec beaucoup plus de sérénité qu’auparavant."
Marie-Noëlle .

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Il y a 3 mots qui me viennent à l'esprit concernant le Yoga : corps, souffle et présence.

Tout d'abord le corps pour ce qui me concerne, car la pratique du Yoga m'a aidé à (re)découvrir mon corps alors que j'étais -et suis encore- trop dans l'intellect et pas assez en contact avec mon enveloppe fidèle que j'ai si souvent négligée.

Le Yoga c'est aussi le souffle avec sa puissance vivifiante, voire enivrante avec les respirations complètes. La conscience du diaphragme, l'expérience du 'double ventousage'...la difficulté pour moi aussi de bien synchroniser mouvement et respiration.

Enfin le Yoga c'est la présence, habiter l'instant qui est LÀ plutôt que se projeter ou bien fuir vers un avenir qui n'est pas ou un passé ruminatoire. 

Présence et souffle dans le corps : le Yoga pour moi c'est la Vie.

Dominique 

mardi 16 août 2016

VRIKSHASANA


Vrishasana constitue l’une des grandes postures du Hatha Yoga. Pas uniquement en raison de son aspect esthétique, mais compte tenu des effets très puissants et bénéfiques qu’elle procure.

1.      Signification

L’arbre (Vriksha, en sanskrit) symbolise l’être humain, en Inde, comme d’ailleurs dans toute civilisation. Et un tel rapprochement nous est, en France, particulièrement familier grâce à une célèbre fable① de Jean De La Fontaine : « Celui de qui la tête au ciel était voisine, Et dont les pieds touchaient à l'empire des morts *» désigne non seulement le Chêne, mais aussi l’homme orgueilleux.

Il est important de s’arrêter à la signification du nom de la posture Vrikshasana. On pourrait juger cela inutile et penser : « Foin de toutes cette érudition inutile, passons vite à l’action ! » Mais sans compréhension véritable de la posture, on n’en aurait qu’une pratique erronée.

Les Yogis ont veillé précautionneusement à ce que leur science ne tombe pas en n’importe quelles mains. Pour cela, ils ont parfois donné des noms sibyllins à certaines postures (Paschimotanasana②, étirement de l’ouest). Parfois, ils leur ont donné un nom au sens manifeste, qui dissimule, un sens ésotérique profond. Tel est ici le cas.

La position debout dans laquelle se trouve l’être humain correspond tout à la fois à sa position corporelle et à son projet de vie. Touchant la terre, l’homme se trouve pleinement ancré dans le monde matériel et ses passions. Mais, tourné vers le ciel, il aspire à s’élever et à utiliser son énergie pour atteindre les réalisations les plus hautes.

Ainsi, Vrikshasana s’annonce comme un moyen précieux pour nous permettre de nous développer et réaliser pleinement notre nature. Tel est le sens manifeste de la posture.

Mais comment atteindre un tel objectif ? Le sens manifeste ne nous le dit pas. Il faut donc accéder à une signification ésotérique. Comment la trouver ? Il est nécessaire pour cela de dépasser la simple analogie formelle entre l’homme et l’arbre. Car si l’homme se contente de poser ses pieds sur la terre, l’arbre fait bien plus que cela : il s’y enfonce profondément par ses racines.

En sanskrit, le mot « racine » se dit « mula », terme que l’on retrouve dans le nom composé muladhara chakra : le centre énergétique (chakra) situé à la racine (mula) de la base (adhara). La posture Vrikshasana nous invite donc à activer l’énergie située à la base du coccyx.

Le sens de la posture commence ainsi à s’éclaircir : grâce à la mobilisation de l’énergie placée au niveau du périnée, et à son élévation à l’intérieur de la colonne vertébrale, le pratiquant va réaliser sa nature profonde.

Mais se pose alors une nouvelle question : comment fait-on pour activer correctement cette énergie ? Cela suppose une excellente concentration. Et comment réaliser cette concentration qui nous fait tellement défaut ? Précisément, en pratiquant Vrikshasana ! Il suffit, en effet, d’adopter cette posture durant quelques secondes pour percevoir qu’elle requiert toute notre attention.

Il existe de nombreuses postures dites « méditatives », propices au développement de la concentration : lotus (padmasana), demi-lotus (ardha-padmasana), posture parfaite (siddhasana), voire tailleur (sukkhasana). Dans un de ces attitudes, si l’esprit est distrait, il n’arrive cependant rien de grave à notre corps : il demeure stable, tandis que notre esprit bat la campagne. Par contre, dans la posture de l’arbre, si l’esprit s’éloigne ne serait-ce qu’une fraction de seconde de son support de concentration, c’est le déséquilibre de notre corps et sa chute ! Pour ne pas tomber, nous sommes ainsi contraints, par la force des choses, d’être pleinement concentrés. Vrikshasana représente donc un excellent moyen pour développer la fixation de l’esprit en un seul point (dharana), l’une des phases avancées du Hatha Yoga.

La signification du nom de la posture est devenue maintenant parfaitement claire : grâce à Vrikshasana, l’être humain développe sa concentration, indispensable à l’éveil de l’énergie dont l’activation va lui permettre de réaliser sa nature authentique. Pour un pratiquant hindou il s’agira d’« unir son âme à Dieu » ; pour un adepte du bouddhisme ce sera « réaliser pleinement sa nature de Bouddha » ; tandis qu’un athée humaniste pensera :« devenir pleinement humain ».

Passons maintenant à la mise en œuvre pratique de la posture.

2.      TECHNIQUE

21. Idée générale

D’un point de vue physique, ce qui doit être réalisé dans la posture est très simple : décoller un pied du sol. Que ce pied soit soulevé d’un centimètre, placé contre le genou, ou contre le haut de la cuisse opposée est finalement secondaire.

Une telle affirmation a besoin d’être justifiée car elle va à l’encontre de la représentation communément donnée de cette posture. En effet, chaque fois que des pratiquants du Yoga se trouvent photographiés en Vrikshasana, ils sont montrés avec un pied plaqué contre le haut de la cuisse.

Dans notre vie quotidienne, quand nous nous tenons debout, nos deux pieds reposent bien au sol. Notre corps est alors stable et nous n’avons pas même besoin de penser à préserver notre équilibre : cela se fait spontanément. Par contre, dès lors qu’un de nos pieds ne repose plus sur le sol, toute notre vigilance est requise pour ne pas tomber.

L’objectif principal de cette posture est précisément celui-ci : nous placer dans une attitude corporelle qui nous oblige à focaliser totalement notre esprit. Pour certaines personnes cet objectif sera atteint en ayant le pied placé à un centimètre du sol, pour d’autres à 5 centimètres, pour d’autres encore le pied sera placé contre le genou, d’autres enfin mettront le talon au périnée. Il n’y a donc pas d’attitude unique, exclusive. Il n’y a que des attitudes personnalisées, adaptées, actualisées en fonction des capacités du moment de chacun.

Parfois, une grande aisance physique n’est pas un gage de réussite. Ainsi, une personne filiforme et très musclée parviendra aisément à rester debout, le pied soulevé à 5 centimètres du sol. Et ce placement corporel lui paraitra tellement facile à réaliser qu’il ne requerra quasiment aucune attention de sa part. Par conséquent, cette personne risque de générer très rapidement de la distraction et de l’agitation mentale, ce qui la fera passer complétement à côté de la posture. Pour que son esprit soit dompté, cette personne doit nécessairement lever plus nettement le pied, et le poser au niveau du genou, ou contre la cuisse.

Inversement, une personne dont les capacités physiques sont moyennes pourra réaliser pleinement la posture sans accomplir d’exploit corporel. Ainsi, une personne âgée, un jeune enfant, ou une personne souffrant d’un trouble de l’oreille interne, ne devront soulever le pied que de quelques centimètres afin de préserver leur sécurité. Et ceci nécessitera toute son attention. Ce faisant, ces personnes pratiqueront de façon totalement authentique, unissant le travail du corps et celui de l’esprit. 

Comprendre que l’apparence extérieure ne révèle en rien le niveau de la pratique permet d’être totalement décomplexé à l’égard de notre corps et de ses performances modestes.

Pour ces raisons, nous allons présenter différentes variantes, correspondants à plusieurs niveaux de difficultés physiques, tous corrects, dès lors que celui que vous adoptez correspond pleinement à vos aptitudes du moment.

22. Phase préparatoire : positionner le corps et placer l’esprit

Au départ, le pratiquant est installé en Namaskarasana. Les deux pieds sont rassemblés, parallèles. Le bassin est basculé, ce qui atténue la courbure de la région lombaire. Le placement particulier du bassin permet, en outre, d’avoir une sensation très claire d’enracinement, d’encrage au sol. On prend bien le temps de ressentir l’appui des orteils et des plantes de pied au sol.

L’attention est placée quatre travers de doigts sous le nombril.

Les deux mains sont jointes, en salut devant la poitrine. On veille à bien détendre le haut du corps, en particulier les sourcils, les mâchoires et les épaules. L’attention et l’énergie peuvent alors plus facilement se diriger vers le bas du corps.

A l’issue de cette phase préparatoire, le corps et l’esprit sont stabilisés. On accentue alors cet ancrage en s’identifiant à un arbre : on imagine qu’on enfonce nos racines profondément dans le sol et que l’on devient indéracinable. Ferme dans le bas du corps, puissamment amarré à la terre, tout en demeurant pleinement détendu dans le haut, tel un arbre qui laisse son branchage et son feuillage se balancer au vent. Faire coïncider fermeté et détente est indispensable. En effet, la fermeté sans la détente est d’origine rajasique③, et aboutit à la crispation physique et mentale. Tandis que la détente sans la fermeté attise Tamas ④ pour engendrer mollesse et torpeur.

On va maintenant veiller à ne pas contrarier cette stabilité physique et mentale que l’on vient de susciter.

23. Installation dans la posture

·        Le placement du pied
Décoller le talon gauche en gardant les orteils au sol

Il est essentiel de bien dissocier chacune des phases suivantes, leur vitesse d’exécution étant, par ailleurs, secondaire. Dès lors, si l’esprit est posé, ces phases pourront s’enchainer rapidement. Si, par contre, cette stabilité mentale est superficielle et précaire, on procédera lentement pour mieux apaiser l’esprit.

On transfère alors progressivement tout le poids du corps sur le pied droit, tout en conservant le pied gauche au sol. C’est comme si la jambe et le pied gauches se vidaient progressivement, tandis que la jambe et le pied droits se remplissaient. A un moment donné, tout le poids du corps repose sur le pied droit.

On décide alors de soulever légèrement le talon gauche, en gardant encore les orteils au sol. Enfin, on les décolle de quelques millimètres. Ça y est, on sait que, d’un point de vue physique, la posture se trouve réalisée! Notre attitude n’a, certes, rien de spectaculaire, mais elle est juste et les principes fondamentaux du Yoga se trouvent respectés.

Dès lors, tout ce qui va suivre n’est qu’un prolongement, un approfondissement de ce qui a été réalisé.
Décoller les orteils du sol : la posture est adoptée !

Comme nous l’avons indiqué, les personnes dont l’équilibre physique est précaire veilleront à ne pas aller plus loin. Les autres veilleront à ne pas viser la performance technique, le « beau geste »artificiel et narcissique, mais trouveront l’attitude physique dans laquelle elles se sentent bien et dans laquelle elles peuvent demeurer longtemps.

Soyez pleinement arbre : enraciné, stable, paisible. Et ne faites pas le singe excité qui grimpe à l’arbre et fait l’acrobate ! Combien de personnes se hâtent de monter la jambe, de prendre la posture, sans rien avoir stabilisé, et redescendent tout à trac au bout de 10 secondes, l’esprit encore plus perturbé qu’avant!

Si l’on se sent très à l’aise, on peut monter le pied et le poser contre le genou opposé, voire même contre le haut de la cuisse, en prenant alors soin que le talon comprime le périnée. On veille alors bien à repousser le genou fléchi vers l’extérieur afin de bien ouvrir la hanche.

·        Les mains

Les mains peuvent être gardées en salut devant la poitrine, mais elles peuvent aussi être montées, les bras étant plaqués contre les oreilles.


Posture finale, mains en salut
Il est important lors de cette ascension de rester bien concentré car l’élévation des mains déplace le centre de gravité du corps.

Telle est la variante de la posture le plus souvent montrée, mais il en existe d’autres, que nous ne présenterons pas ici, plus difficiles à réaliser d’un point de vue technique.
Posture finale : bras plaqués contre les oreilles

·        Phase statique

Tout ce qui a été accompli jusqu’à présent ne représente qu’un travail préparatoire, l’installation dans la posture. Maintenant, pour réaliser véritablement celle-ci, lui permettre pleinement d’agir, il convient de demeurer en elle.

Durant cette phase statique plusieurs indications doivent être données concernant des aspects physiques, énergétiques et mentaux.

Aspects physiques :

Le regard est fixé sur un point et cette concentration du regard contribue fortement à affermir l’équilibre physique. Ce repère visuel peut être pris au sol, 3 mètres devant soi, le regard se trouvant légèrement incliné vers le bas. Mais ce point peut aussi être placé à hauteur des yeux, en fixant le mur situé en face de soi. Vous adopterez l’une ou l’autre de ces possibilités selon la configuration du lieu où vous pratiquez et ce que vous ressentirez comme étant approprié.

La respiration est consciente, régulière, pleinement épanouie.

Le pratiquant unit ainsi la stabilité générale du corps, celle du regard, de la respiration et de l’esprit.

Conserver la posture durant une minute constituera une très bonne base de départ. Au fur et à mesure que vos muscles se fortifieront, et que votre esprit se canalisera, vous pourrez passer à 2 minutes, puis trois, et ainsi de suite. Certains Yogis peuvent demeurer une heure dans cette posture, l’esprit dompté.

On pratiquera d’un côté, puis de l’autre, en commençant par le pied que l’on souhaite.

Aspects énergétiques :

Durant la phase statique, le périnée est maintenu contracté, comme si on voulait le tirer vers le haut.

Comme nous l’avons indiqué, si cela est possible, le talon comprime le périnée, ce qui contribue à l’activation de Muladhara Chakra.

Aspects mentaux :

On pense souvent que cela va être simple d’être en équilibre sur un pied.  « Pensez donc, un sot pourrait le faire ! » semble-t-on se dire. Et on découvre très vite que cela n’a rien d’aisé. Plus encore : Ce que l’on perçoit de soi - notre agitation, notre incapacité à demeurer paisiblement - ne nous fait pas précisément plaisir, et écorne l’image favorable que l’on avait de soi. On risquerait alors dans Vrikshasana de se décourager et de se dévaloriser. Ainsi, la posture requiert beaucoup de patience et d’humilité.

S’il nous arrive de perdre l’équilibre, n’en soyons pas affecté. Pensons que cela n’est pas grave et que cela constitue précisément « le travail de la posture ». Peut-être a- t-on été un peu distrait, précipité ou présomptueux. On se redresse simplement et on recommence. Et ainsi, en tâtonnant, on parvient à générer l’attitude juste vis-à-vis de soi-même. La posture nous fait alors évoluer intérieurement, elle nous transforme et nous permet de nous améliorer. Gardée suffisamment longtemps, Vrikshasana nous conduit à nous dépouiller de tout artifice, de toute la comédie sociale et à être authentique. La posture devient un moyen pour se trouver soi-même et connaitre ce dont nous avons vraiment besoin pour vivre. .

·        Les erreurs à ne pas commettre

Nous avons déjà indiqué que toute précipitation était à proscrire. On s’en rendra compte par soi-même : prise trop rapidement, l’esprit agité, la posture ne peut être ni gardée, ni même prise : on tombe immanquablement.

Il y a donc quelque chose de très rassurant et d’original avec Vrikshasana : on n’a pas vraiment besoin de se poser la question classique  « est-ce que je pratique de façon correcte ? » Car on obtient la réponse directement.

Seule précision technique utile à donner : si on parvient à monter le genou et à placer le pied sur le haut de la cuisse, le talon doit nécessairement presser le périnée.

Le dessin figurant ci-dessous montre donc une pratique qui pourrait être améliorée.

Le talon devrait être monté un peu plus pour être plaqué contre le périnée
3 BIENFAITS

·        Les bienfaits sur l’esprit

De façon générale, Vrikshasana permet de stimuler l’énergie vitale, d’accroitre la joie de vivre. Elle donne, en outre, les ressources intérieures essentielles pour faire face aux difficultés concrètes, matérielles de la vie quotidienne, et à se sentir véritablement incarné. On peut donc dire qu’elle convient à tous les êtres humains.

Dans un cadre thérapeutique, la posture est particulièrement recommandée aux personnes stressées, nerveuses et à celles dont l’esprit est instable.

Elle est aussi très profitable aux personnes fatiguées, ou dépressives.

Dans la mesure où Vrikshasana permet de développer la concentration, sa mise en œuvre est recommandée aux personnes souhaitant développer les siddhis⑤.

·        Les bienfaits physiques.

Grâce à la posture de l’arbre, le Yogi unifie en lui les trois qualités de la nature primordiale, les trois Gunas (Sattva, Rajas, Tamas). Ce faisant, il parvient à un excellent état de santé.

La posture contribue au renforcement de la musculature des jambes. En appui sur un pied, tous les muscles de la jambe correspondante se trouvent mobilisés pour assurer l’équilibre. On sent très facilement l’effort intense fourni dans le bas du corps. Et la fatigue ressentie dans cette région conduit très souvent à l’interruption de la posture.

L’élévation des bras tendus au-dessus de la tête permet une grande ouverture de la cage thoracique. Ceci contribue au déploiement de la respiration, et donc à une meilleure oxygénation des cellules de l’organisme.

CONCLUSION

La posture de l’arbre nous rappelle notre condition humaine : être un pont entre le ciel et la terre. Elle nous invite à nous élever, mais tout en nous enracinant. Aucun de ces deux pôles ne doit être oublié.

Vrikshasana constitue une posture majeure qui nous permet de développer la vitalité, la concentration, et de conquérir un état de santé excellent. Cet asana classique viendra donc s’insérer tout naturellement dans votre série journalière. Il prendra place en début de séance, après l’accomplissement des salutations au soleil (Suryanamaskar⑥). 

 

Notes

① Jean De La Fontaine, Fables, livre 1, XXII, Le Chêne et le Roseau

②Cf. notre article, Paschimotanasana, 2012

③④ Cf. notre article sur les Trois Gunas, 2016

⑤ Cf. notre article, Trois destinations et trois moyens d’action, paragraphe 12. Les Siddhi,

⑥ Cf. notre article Les différents niveaux de pratique dans la salutation au soleil, 2010 





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