vendredi 3 janvier 2025

Les cinq entrainements : rappel succinct des exercices

 

       « Les cinq entraînements sur les canaux, les souffles et les chakras » constituent de véritable trésors de la pratique yoguique. Afin que de telles pratiques ne tombent pas aux mains de n'importe qui, nous allons rappeler succinctement les exercices qui sont accomplis pour équilibrer chacun des cinq souffles subtils fondamentaux. Ce mémento viendra ainsi soutenir vos efforts de mémorisation.

  • 1ere pratique

Prendre l’énergie de couleur jaune (élément terre)

Amener les souffles au chakra de la gorge, les y garder.

Rotations de la tête à droite à gauche, devant.

Méditation contemplative

  • 2eme pratique

Prendre l’énergie de couleur blanche (élément espace)

Souffles au niveau du cœur

« Lasso » ou « jet de pierre » au-dessus de la tête : main droite, puis main gauche.

Rotation épaule droite, puis épaule gauche.

Attention : expulsion spécifique de l'énergie.

Méditation contemplative

 

  • 3e pratique

Prendre l’énergie de couleur rouge (élément feu)

Souffles au niveau du nombril.

Rotation de l’abdomen, à droite, à gauche, puis « pomper »

Méditation contemplative

 

  • 4e pratique

Prendre l’énergie de couleur verte (élément air)

 Friction des mains, amener les souffles dans le canal central et les y maintenir ;

Massage du corps

Décocher trois flèches à droite, trois flèches à gauche

Méditation contemplative

 

  • 5e pratique

Prendre l’énergie de couleur bleu (élément eau)

Souffles au niveau du chakra secret et à la base de la colonne

Saisir genou droit : trois rotations à gauche ; saisir genou gauche : trois rotations à droite. Puis combiner les deux.

Méditation contemplative

 

Christian Ledain

Professeur de la FFHY

Christianledain@wanadoo.fr

jeudi 2 janvier 2025

La mobilisation du corps énergétique dans les Cinq entrainements

Après avoir assimilé les principes fondamentaux mis en oeuvre dans les Cinq entraînements (voir article précédent), il s'avère maintenant utile de donner quelques précisions concernant notre corps énergétique.  Celui-ci nous est moins familier que notre corps physique parce qu'il ne nous est pas accessible par nos perceptions sensorielles ordinaires.

Pour mettre en oeuvre correctement les Cinq entraînements, il convient d'avoir une bonne compréhension de son architecture et de son fonctionnement. Ceci nous permettra d'effectuer correctement les visualisations qui sont fondamentales et d'obtenir des bienfaits authentiques de ces Cinq entrainements.

  1.    Les canaux et les souffles subtils

Nous disposons d’un corps physique que nous connaissons bien : c’est lui qui fait l’expérience du café bien chaud que l’on savoure et du linteau un peu bas contre lequel on se cogne la tête !

Ce corps matériel est en quelque sorte posé sur un corps énergétique que l’on ne voit pas, un peu semblable aux barres d’acier sur lesquelles on coule du béton pour former du béton armé.

Notre corps énergétique se trouve composé de 72 000 canaux. Tout comme le réseau routier français se trouve composé de grands axes, d’autoroutes, de routes nationales, départementales et, enfin, de chemins vicinaux, notre corps énergétique est composé de canaux principaux, secondaires, et mineurs. Les canaux principaux sont au nombre de trois : le canal central (Sushumna), la canal de droite (ida), celui de gauche (Pingala). Tout comme sur le réseau routier circulent des véhicules, à  l’intérieur de ces canaux circulent des souffles subtils.

Les souffles subtils sont des manifestations de l’énergie vitale. Cette énergie par définition nous permet d’être en vie. A chaque instant nous en prenons et nous en dépensons pour assurer le métabolisme de notre corps et accomplir toutes nos activités. Chaque souffle remplit une fonction bien définie sur un certain périmètre. Il existe un très grand nombre de souffles subtils, certains très importants, d’autres secondaires, d’autres subsidiaires. On peut ainsi recenser cinq souffles principaux et cinq souffles secondaires.

Les cinq souffles subtils les plus importants sont le souffle ascendant, le souffle de vie, le souffle support de feu, le souffle omniprésent et le souffle descendant.  Ils sont essentiels car un excellent état de santé découle de l’équilibre de ces souffles fondamentaux.

A certains endroits du corps subtil existe un réseau particulièrement  dense de canaux, tandis qu’à d’autres endroits du corps ce maillage est moins marqué. Pour reprendre notre image de la carte routière française, un grand nombre d’artères rayonnent autour de Paris, Lyon et  Marseille, tandis que cette irrigation est nettement moins importante au niveau de Mourmelon. Ces croissements de canaux correspondent aux chakras (roue en sanskrit).

Il existe un très grand nombre de chakras, mais certains sont plus importants que d’autres. Parmi les chakras secondaires on peut ainsi recenser ceux qui sont situés au niveau des articulations de notre corps (épaules, des genoux, chevilles, hanches), mais aussi à l’arrière des yeux, à l’extrémité desseins.

Il y a sept principaux centres énergétiques, positionnés le long du canal central, situé juste devant la colonne vertébrale. Ils sont localisés au sommet du crâne, entre les deux yeux, à la gorge, au cœur, nombril, extrémité du sexe, périnée.

 

     2. La jonction des trois canaux principaux

Le canal central va du sommet du crâne à la pointe du coccyx. Les deux canaux latéraux, longent par définition le canal central. Ils prennent naissance à l’entrée des narines, montent au sommet de la tête, puis descendent le long de la colonne vertébrale.

A un point particulier, situé quatre travers de doigts sous le nombril, les deux canaux latéraux s’incurvent et s’unissent au canal central. 



 

      3.  Le travail sur les souffles

Il est ainsi possible de prendre l'énergie (Prana) qui est dans l'air lors de l’inspiration. Puis, on la fait descendre par les deux canaux lateraux. On la fait ensuite entrer dans le canal central, pour l' amener à un endroit déterminé (tel ou tel Chakra). Il faut ensuite  maintenir l'énergie à cet endroit par le pouvoir de la concentration.

En gardant l’esprit bien placé sur le support de concentration, on accomplit alors certains exercices corporels rappelés dans le mémento sur « les cinq entrainements ».

 

     4.   Les bienfaits obtenus

La conjugaison de toutes ces pratiques physiques, énergétiques et mentales incluses dans les Cinq entrainements sur les canaux, les souffles et les chakras va permettre d’équilibrer les cinq souffles subtils fondamentaux. Cette harmonisation des souffles permettra d’atteindre deux résultats fondamentaux :

·             . un excellent état de santé physique,

·            un esprit pacifié, c’est à dire dont les perturbations mentales (stress, anxiété, colère, jalousie… ) sont éloignées.



Après avoir assimilé les éléments fondamentaux du corps énergétique et compris comment ils sont sollicités dans les Cinq entrainements, il est maintenant possible de donner quelques repères essentiels sur les techniques mises en oeuvre.  

       Christian Ledain

christianledain@wanadoo.fr

POSTURE SUR LA TÊTE

La posture sur la tête (Kapalasana, en sanskrit) nous fait parfois rêver en raison de son coté un peu acrobatique. Il est vrai : la tête en bas, les pieds en l’air, voilà qui n’est pas commun !



 Quand j’ai découvert le Yoga, alors que j’étais étudiant, cette posture me fascinait presque. Je savais instinctivement que cette posture ouvrait la porte à tout un monde de possibles. Cependant, malgré mes efforts répétés lors des cours en salle, il m’était impossible de réaliser cette posture. Il me fallait donc trouver une méthode, quelque chose de fiable et d'assuré qui me permette de progresser à mon rythme.

Cette méthode, la voici; je voudrais la partager avec vous.  

1 Lever les obstacles mentaux

De façon générale, Kapalasana est très largement accessible aux personnes qui suivent régulièrement notre cours de Yoga. Le poids, quelques kilos de trop, ne constituent pas, en réalité, un obstacle insurmontable. Pas plus d’ailleurs qu’une musculature un peu lâche. Mais très souvent, je vois des personnes caler devant l’obstacle en raison d’un blocage mental, alors qu'elles disposent des capacités physiques requises. Notre esprit, très puissant, parvient à dresser des barrières insurmontables fondées sur la peur. 

Cette peur, il nous faut la reconnaitre pour pouvoir la dépasser. Il y a tout d'abord la peur du danger : « Ma tête ne va-t-elle pas exploser si elle reste en bas ? Et si je perds l’équilibre, ne vais-je pas me rompre le cou en chutant ? » Peur du ridicule ensuite : « Pour qui vais-je passer si je n’arrive pas à soulever mon bassin? Ne vais-je pas me donner en spectacle si je perds l'équilibre ? » Quand de tels doutes se frayent un chemin dans notre esprit, on se donne alors une fausse bonne raison pour ne pas se lancer vraiment : « Ces acrobaties, ce n'est plus de mon age. C’est juste bon pour les enfants ! »

Comment lever ces obstacles, ces Himmalayas que l'on se construit intérieurement ? Tout d'abord, il faut se faire confiance : tout s'apprend et l'on n'est pas plus maladroit qu'un autre. Faire confiance aussi aux autres personnes qui nous entourent : elles sont là pour prendre soin d'elles-mêmes tout comme nous, avec un esprit ouvert et bienveillant. Avoir confiance dans le professeur qui aidera, encouragera, soutiendra vos efforts parce qu'il a lui-même été confronté aux mêmes difficultés et les a dépassées. Et puis, faire confiance à la méthode qui a permis à des milliers d'apprentis Yogis, bien avant vous, de prendre plaisir à mettre en oeuvre cette posture.

Voici donc quelques recommandations qui pourront vous être utiles. Si vous craignez un peu le ridicule, isolez-vous et entrainez-vous un peu à l'abri des regards. La plupart du temps , une ou deux tentatives suffiront pour lever les obstacles et obtenir un succès certain. C'est ce que j'ai fait moi-même : ayant appris en cours la méthode que je vais vous expliquer, je me suis installé dans ma chambre, un soir, et tout s'est alors très bien passé.

Il peut être utile de configurer un peu le lieu de pratique : déposer des coussins au sol, au cas ou l'on perdrait un peu l'équilibre; dégager un peu le périmètre autour de soi, afin de ne pas emporter le lampadaire par inadvertance; ou encore se placer devant un mur pour être sûr que le dos reste bien droit et que l'on garde l'équilibre.... Aménagez l'espace pour vous sentir vraiment bien et générer les conditions de la confiance. 

Peut-être aussi préparez un peu votre corps physique en accomplissant quelques salutations au soleil, afin de ne pas vous sentir rouillé. Et si vous sentez que faire des prosternations devant la photo de votre grand-mère est de nature à vous aider, ne vous en privez pas ! Accordez vous tout ce dont vous sentez avoir besoin.

Enfin, dernier conseil, ne soyez pas trop dur avec vous : vous allez progresser, c'est certain, mais cela se fera à votre rythme, à une vitesse que vous ne connaissez pas et que vous ne pouvez qu'accepter. Donc, ne vous rouspétez pas de ne pas avancer suffisamment rapidement : Rome ne s'est pas faite en un jour ! 

Ces principes fermement posés, procédez maintenant comme il suit.

 

2 Une méthode sécurisée

Il existe une procédure parfaitement fiable et sécurisée qui va vous permettre d' adopter Kapalasana.  Si l'innovation est dans certains domaines recommandée, je vous conseille ici de renoncer à toute forme d'improvisation pour suivre la voie classique du succès.

Pour paraphraser Platon, il faudrait que chaque apprenti Yogi se convainque : "Que nul n'entreprenne Kapalasana s'il n'est géomètre !" En effet, le souci de l'exactitude dans le positionnement des mains et de la tête constitue la clef de Kapalasana. Elle ne souffre aucune approximation, sinon c'est la chute !

 

. La constitution du triangle d’appui

Tout d'abord, il faut s’asseoir sur les talons et poser les avant-bras au sol, une dizaine de centimètres devant soi en insérant les mains dans le pli des coudes. Puis, il faut déplier les avant-bras de façon que les extrémités des doigts des deux mains se touchent. On constate alors de visu que nos avant-bras et nos mains forment les deux cotés d’un triangle équilatéral (ABC).



Ensuite, on place la tête au sommet de ce triangle (point A). Plus précisément, on veille à ce que la région posée au sol soit le haut du front (à la naissance des cheveux). A la base du triangle (points B et C), on dispose le centre des paumes.



Si les coudes partent vers l’extérieur, on les ramènera vers soi, en faisant un peu pivoter les poignets. 

Vous disposez alors d’un solide trépied qui va vous permettre de prendre un appui ferme et de poursuivre la posture sans difficulté. 

L’expérience révèle que, dans la moitié des cas, les personnes qui ne parviennent pas à prendre Kapalasana ne placent pas leurs mains et leur tête aux bons endroits. Cinq centimètres de trop à droite, autant à gauche, et les proportions justes ne sont plus respectées ! Il vous arrive alors ce qui survient à toute construction bancale : sans fondations fermes, les murs et le toit s'effondrent immanquablement! 

Si votre première tentative n'a pas été couronnée de succès, ne perdez pas courage, apprenez de vous-même, recommencez, en vérifiant bien vos placements initiaux. 

 

. Placer le bassin au-dessus de la tête

Toujours en étant assis sur vos talons, vos orteils accrochent le sol et vous soulevez le bassin. Ceci vous amène mécaniquement à tendre les jambes. Vous avancez alors le pied droit de 10 cm, puis le pied gauche, et recommencez ainsi de suite.... Vous constatez alors que votre dos se redresse lentement et que vos genoux se rapprochent de vos coudes.



 Si vous redoutez une chute, vous pouvez vous placer dix centimètres devant un mur.



Vous pouvez alors poser tranquillement un genou sur un coude, puis l’autre genou sur l’autre coude. 



"Plus facile à dire qu'à faire" me direz-vous. Il vous faudra parfois un peu de patience et de persévérance à ce stade.


Vous êtes alors en équilibre et vous disposez d'un appui ferme sur les mains et sur la tête (votre trépied). Ce stade doit être consolidé et il ne faut surtout pas chercher à déplier précipitamment les jambes. De nombreux bienfaits de la posture inversés sont déjà obtenus à ce stade élémentaire, bienfaits qui seront amplement détaillés dans un autre article. Il est donc nécessaire d'apprivoiser cette phase,  de s'y sentir bien. Ce n'est que lorsque l'on aura une conscience bien claire, une expérience véritable des effets positifs de cette phase élémentaire qu'il sera utile d'aller plus avant et d'aborder la phase finale de la posture.

Beaucoup de débutants sont trop pressés, ne pensent qu'à agir sans rien sentir, sans rien vivre de profond. Ils ressemblent à ces alpinistes inconscients qui montent vers des sommets au péril de leur vie, uniquement par orgueil. Ceux qui prennent Kapalasana à la hussarde, déplient les jambes, sans réelle stabilité physique et mentale, redescendent précipitamment, dans un atterrissage qui ressemble plus à un crash, et se sentent finalement mal, se promettant de ne plus jamais reprendre cette posture !  

 

. le déploiement des jambes

Lorsque l'on se sent bien physiquement et mentalement, qu'on apprécie véritablement la phase précédente avec les genoux fléchis, il est tout à fait possible de déplier les jambes.



Conclusion

Vous disposez maintenant d'une méthode fiable et validée par une lignée ininterrompue de Yogis qui se sont succédés au fil des siècles.

Pour nous, Occidentaux, qui menons une vie mouvementée, garder la posture 1 à 2 minutes constituera une excellente pratique journalière. 

Les bienfaits de Kapalasana sont si nombreux et puissants, notamment pour lutter contre les méfaits de la sédentarité, qu'ils nécessitent un article spécial.  En parler ici, aurait donné une tournure indigeste à cet article, et je ne voudrais pas vous détourner de quelque façon que ce soit des merveilleux bienfaits du Yoga !

Christian LEDAIN

Professeur de la Fédération Française de Hatha Yoga

 


mercredi 1 janvier 2025

Les Cinq entrainements : principes fondamentaux à mettre en œuvre

 

 Nous avons détaillé en cours cinq techniques qui permettent d’équilibrer les souffles subtils en nous. Certaines personnes pressées se jettent parfois sur les exercices corporels pensant que leur mise en œuvre seule suffit à obtenir de grands résultats. Mais elles sont rapidement déçues car les bienfaits ne sont pas alors au rendez-vous.

Il faut donc connaitre et réunir toutes les causes et conditions qui permettent  d’obtenir les excellents résultats.

Six conditions doivent être réunies pour que l’on puisse obtenir des bienfaits véritables. Cinq sont relatives au fonctionnement de notre esprit et la sixième concerne la mobilisation correcte de notre corps physique.

. Il convient tout d’abord de générer une excellente motivation puisque c’est elle qui va orienter l’esprit de façon juste. Une telle motivation doit être authentique ; il s’agit d’obtenir un corps en bonne santé et un esprit équilibré afin de pouvoir être très bénéfique envers soi-même et les autres êtres. Ces réflexions que l’on mène doivent déboucher sur une grande émotion : la joie d’utiliser les techniques yoguiques pour accomplir ce qui est bon.

. Il faut, en plus, générer une grande détermination : le désir ardent d’obtenir ici et maintenant de  grands résultats, et pour cela se consacrer pleinement à la pratique. Il ne faudrait pas entrer dans une routine stérile.

.  Il convient, en outre, de générer une bonne concentration. Même si notre pratique est très brève, nous devons veiller à ce que notre esprit ne vagabonde pas, mais reste appliqué au support de concentration spécifique à chaque exercice. Ainsi, lorsqu’on aura fait entrer les souffles dans le canal central, il faudra bien garder notre attention à l’endroit où l’on place l’énergie (par exemple, le chakra de la gorge) et ne pas laisser notre esprit dévier lorsque nous mettrons en œuvre les exercices corporels.

. Il est aussi important que la visualisation de la circulation des souffles à l’intérieur des canaux soit aussi claire et réaliste que possible. C’est un peu comme lorsqu’on aspire un jus de fruit avec une paille : on voit nettement le liquide se déplacer dans le conduit. C’est le même type de visualisation qu’il convient d’effectuer ici.

. Nous devons encore disposer d’une grande confiance dans l’efficacité de ces exercices. Si nous avons quelques doutes sur la puissance de ces pratiques, qui ont pourtant fait leurs preuves au cours des siècles, il convient de les lever, en en parlant au professeur.

. Enfin, le dernier aspect est purement technique : il convient de connaitre les exercices corporels spécifiques et de les accomplir correctement.

Si l’une de ces conditions venait à manquer, il ne nous serait alors pas possible d’obtenir de résultat satisfaisant. Mais inversement, dès lors qu’elles se trouvent remplies,  l’obtention des résultats est assurée et rapide. J’ai ainsi eu l’occasion de montrer certaines de ces pratiques à une personne qui n’avait aucune connaissance du Yoga. En dix minutes à peine, elle a obtenu des bienfaits dont un remarquable que je n’avais pas cité. Cette personne n’avait pas d’autres qualités que celles qui viennent d’être mentionnées : excellente motivation, bonne concentration, grande détermination, visualisation claire, très bonne confiance et exécution correcte des mouvements du corps.

 


Ces principes, heureusement très simples, doivent être présents constamment en nous lors de la mise en œuvre des exercices.

Une fois que ces principes se trouvent bien encrés, il est utile de se représenter distinctement le  corps énergétique qui se trouve puissamment sollicité dans les Cinq entrainements.

Christian Ledain

profeseur de la FFHY

Christianledain@wanadoo.fr

 

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